« Tant que la langue vivra »
Sophie Aouillé : « Le paradoxe du comédien »
Stéphane Baroux : « Tant que la parole vivra ou le paradoxe du metteur en scène »
Bernard Bremond : « Il n’y a pas de langue qui dise le trauma : la langue vivante de l’enfant perdu »
Sylvain Frérot : « La langue des rêves »
Pascale Ruffel : « Ma langue maternelle n'avait pas prévu cela »
Florence Frappart : « Du musulman à l'ěcrivain. Ecrits d'Imre Kertész »