Inten$ion Psychanalytique

Agenda


Séminaire Pourtour 2023 à Caen - Abords de la répétition
Apr
13
8:00 PM20:00

Séminaire Pourtour 2023 à Caen - Abords de la répétition

Le Mouvement Pourtour

vous invite à un séminaire


le jeudi 13 avril 2023
à partir de 20h00
à Caen

« Abords de la répétition»

À la suite du fantasme, en après-coup, je propose cette année d’aborder la question de la REPETITION .
Dans le séminaire XI , Lacan en fait un des concepts fondamentaux de la psychanalyse avec l’inconscient, le transfert et la pulsion.
Cela passe bien sûr par une reprise du texte freudien en particulier à cette période que l’on a appelé le grand tournant de 1920, celui de la découverte d’un au delà du principe de plaisir et de la 2ème topique.

Quelle pertinence a ce concept de «répétition »  pour nous orienter dans notre pratique, pour cerner l’objet de la psychanalyse et la finalité de l’analyse?

Contact : Sylvain Frérot 06.73.14.00.40
sylvainfrerot@sfr.fr

View Event →
Tant que la langue vivra  - Journée Pourtour à Caen le 17 septembre 2022
Sep
17
9:30 AM09:30

Tant que la langue vivra - Journée Pourtour à Caen le 17 septembre 2022

L’Association Intension Psychanalytique et le Mouvement Pourtour

vous invitent à une journée de travail


le samedi 17 septembre 2022
de 9h30 à 18h00
à Caen
à l’Hôtel Mercure Port de Plaisance (place Courtonne)

« Tant que la langue vivra »

Que peut la langue ?
Selon la belle expression d’Heinz Wismann, il s’agit de « s’emparer des possibilités de la langue pour mettre en œuvre son vouloir dire », sa capacité à créer de nouveaux espaces, sa capacité à structurer le réel et donner forme à cette « humanité » irréductible à la vie organique, animale. Psychanalyse et littérature s’enracinent dans la langue, elles sont les voix(es) et les traces qui attestent de la responsabilité d’un sujet sur le chemin de son humanisation par le dur « métier » de vivre.

Trouver les mots et leur équivocité pour dire le monde ; artistes, écrivains, psychanalystes, il nous revient de faire vivre la langue et de maintenir l’exigence vitale de l’espace psychique, comme le dit si bien Flaubert, « tant que la langue vivra » .

Avec la participation de :
Sophie Aouillé et Stéphane Baroux : « Le paradoxe du comédien »
Bernard Bremond : « Il n’y a pas de langue qui dise le trauma : la langue vivante de l’enfant perdu ».
Florence Frappart : « Apprivoiser le traumatisme avec Imre Kertész ».
Dolorès Frau-Frérot : « L’exil est dans la langue ».
Sylvain Frérot : « La langue des rêves ».
Jeanne Lafont : « La langue comme espace ».
Pascale Ruffel : « Ma langue maternelle n’avait pas prévu cela ».

Participation aux frais: 30 euros
Contact : Dolorès Frau Frérot 02.31.86.58.15 / 06.70.08.83.25

View Event →
Pourtour & Inten$ion Psychanalytique Invitation-Rencontre
Mar
13
10:30 AM10:30

Pourtour & Inten$ion Psychanalytique Invitation-Rencontre

Journée Pourtour & Inten$ion Psychanalytique

13 Mars 2022 - 10h30-12h00

Lieu de rencontre: ASIEM 6 rue de Lapparent 75007 Paris

Cher.e.s collègues d'Intension Psychanalytique et du mouvement Pourtour, 
Nous vous invitons à une rencontre le dimanche 13 mars de 10h30 à 12h à l'ASIEM (6 rue de Lapparent. Paris. 75007):
- Pour un temps d'échanges et de discussions sur les projets des coopérants de Pourtour réalisés ou en cours.
- Pour la poursuite du questionnement sur la singularité du dispositif I.P./Pourtour qui cahin caha prend en compte la disjonction.
Voici bientôt 10 ans de fonctionnement !
Bien cordialement
Pour le secrétariat d'I.P...

View Event →
Journée en hommage à Moustapha Safouan
Mar
12
10:00 AM10:00

Journée en hommage à Moustapha Safouan

Le mouvement POURTOUR et l’association INTENSION PSYCHANALYTIQUE vous invite à une journée en

HOMMAGE à MOUSTAPHA SAFOUAN

Samedi 12 mars 2022 de 10 h à 17h
À l’USIC, 18 rue de Varenne. 75007. Paris (Salle Pupey Girard).
Participation aux frais : 10 euros

Moustapha Safouan nous a quitté le 8 novembre 2020 dans sa centième année. Il était né en 1921 à Alexandrie en Egypte. Venu à Paris pour poursuivre ses études de philosophie du langage, il rencontre en 1949 Jacques Lacan dont il devient le compagnon de route.
Il a exercé la psychanalyse pendant plus de soixante ans et a publié une œuvre qui fait référence et qui a été traduite dans de nombreuses langues. Il a lui-même traduit L’interprétation des rêves en arabe ainsi que Othello (Shakespeare) et Le discours sur la servitude volontaire (La Boetie). Certains textes de Hegel également. C’est dire l’engagement de cet homme et l’apport que constitue son œuvre pour la psychanalyse.

Que devient le père à la fin d’une analyse?
Cette question, Moustapha Safouan nous dit qu’elle a été un aiguillon dans son parcours, son expérience et sa pratique de l’analyse, c’est à dire en tant qu’analysant et en tant qu’analyste.
Elle renvoie à un signifiant tiers, le père en tant que Nom, c’est à dire un signifiant qui permet d’accorder ou de réconcilier, comme il le dit, le désir et la loi. Ce signifiant du père symbolique vient remplacer un ordre qui, autrement, serait un ordre de toute puissance, de pur caprice. La structure dualiste n’est pas vivable.

Et que devient le père dans la civilisation contemporaine ? C’est une des questions qu’il développe à la fin de sa vie en particulier dans le livre La civilisation post oedipienne (paru en 2018).
M. Safouan nous le rappelle, l’avenir de la psychanalyse ne tient-elle pas à sa capacité à contribuer à l’intelligence de notre époque et aux métamorphoses de l’éros, autrement qu’en poussant des cris d’alarme ?

Il y a ceux qui travaillent pour vivre, moi je suis plutôt de ceux qui vivent pour travailler, disait-il souvent en souriant. Jusqu’au bout il l’aura été un infatigable travailleur, ses derniers livres en témoignent. Nous entendons travail aussi au sens de travail de l’inconscient qu’il aimait saisir dans les polyphonies de la langue ordinaire.

Cette journée sera composée de témoignages d’analystes qui ont travaillé avec lui. Elle sera aussi l’occasion d’échanger sur les apports que constitue son œuvre, à la fois comme boussole et comme points de relance d’un questionnement qu’il a contribué à ouvrir tout au long de sa vie.

Avec la participation de: Dolorès Frau-Frérot, Andrée Lehmann, Bernard Brémond , Martine Dardanne, Claude Rabant, Sylvain Frérot, Monique Delaugerre, Claus Dieter Rath, Michèle Pagano....

Sylvain Frérot

Contact : contact@intension-psychanalytique.org tél : 06.73.14.00.40

 
View Event →
Journée Pourtour & Inten$ion Psychanalytique
Jan
25
11:00 AM11:00

Journée Pourtour & Inten$ion Psychanalytique

Journée Pourtour & Inten$ion Psychanalytique

25 janvier 2020 - 11h-17h

Institut Protestant de Théologie - 83, boulevard Arago 75014 PARIS

Le mouvement Pourtour a partie liée, quoique disjointe, avec l'association Intension Psychanalytique. Ce principe permet ainsi d'assurer l'existence sociale d'un mouvement qui se voudrait  "psychanalytique", quant au style de débat et d'initiative autonome qui caractérise ses interventions"....

Le mouvement Pourtour existe depuis le 2 juillet 2011, Inten$ion psychanalytique est créée en juin 2012. Pour ce 25 janvier 2020, nous pensons à deux temps de travail ouverts aux coopérants Pourtour et aux personnes intéressées de :

11 heures à 12 heures 30 puis de 14 heures à 16 heures 30.

Un texte de Jean Claude GROSS accompagne cette invitation et est disponible ici.

Après ces temps de travail, aura lieu l’assemblée générale de l’association Inten$ion Psychanalytique  de 16 heures 45 à 18 heures.

Le bureau : Jean Claude GROSS

Marc BRASSIER

Raphaël POULIQUEN

View Event →
Abords du fantasme - Séminaire Pourtour à Caen le 16 janvier
Jan
16
9:00 PM21:00

Abords du fantasme - Séminaire Pourtour à Caen le 16 janvier

Abords du fantasme

Caen - 16 janvier 2020 à 21H

Animé par Sylvain Frérot

Nous proposons d’aborder le fantasme à partir des questions issues de notre pratique clinique et de la théorisation freudienne puis lacanienne de ce concept.

« La psychanalyse, c’est la réalité du sujet aliéné par son fantasme. » (J. Lacan).

Quant au traumatisme, il renvoie à ce qui fait effraction du fantasme. Quelle est la fonction des fantasmes, à commencer par ceux que Freud a nommé originaires? Quid de ce que Lacan appelle la traversée du fantasme? En quoi la littérature, la peinture, le cinéma... nous éclairent-ils sur le fantasme
comme mise en scène du désir ?

Ce questionnement est donc vaste et ouvre de nombreuses perspectives dont chacun pourra témoigner.

Contact : Sylvain Frérot. 06.73.14 .00 .40 / sylvainfrerot@sfr.fr

View Event →
Pourtour à Mâcon le 12 et 13 Octobre 2019
Oct
12
to Oct 13

Pourtour à Mâcon le 12 et 13 Octobre 2019

Comment c’est la cure

Le malaise dans la psychanalyse ne serait-il pas d’abord celui d’analystes dans le rapport à la théorie analytique plus que dans leur pratique ? Cela se lit ou s’entend dans les écrits, les discours ou les prises de position publiques, quand le psychanalyste est sollicité sur telle ou telle question et qu’il est amené à donner une réponse forcément explicative qui relève plutôt de la psychologie, de la sociologie ou de la philosophie quand ce n’est pas explicitement une déclaration d’intention politique, qui ne peut qu’être éloignée du savoir de l’inconscient. Comment parler, autrement que dans le discours courant ou dans celui de l’université ?

Freud et Lacan ont réfuté l’usage de la psychanalyse qui prétendrait apporter au monde une « Weltanschauung » de plus. Lacan précise que s’il en allait ainsi, la psychanalyse « tournerait à la religion ». Cela ne peut qu’inciter à un retour critique, après plus de cent ans de production foisonnante de textes, sur les développements de la théorie analytique, dans son rapport actuel à la pratique de la cure. Dans le présent d’un monde qui est en recherche de sens, où la technique pousse à l’accélération permanente, que signifie l’espace-temps de la séance ? Qu’est-ce qui l’ordonne dans la dimension transférentielle ? L’analyste doit-il entendre ou doit-il comprendre ? Le mouvement dans lequel s’inscrit la cure répond-il à une fin, qui pourrait paraître un point de fixation, ou suit-il le cours de la droite infinie de la topologie lacanienne ? Celles-là ou tout autre question doivent surgir de la discussion entre analystes, quand aucune contrainte institutionnelle (même imaginaire, ce qui donne un sens plein à la disjonction)ne vient retenir une parole énoncée dans la langue propre à chacun, adressée à un groupe éphémère et constitué sur le seul désir de chaque analyste.

Serait-il possible de faire apparaître dans la contradiction tourbillonnante des différents propos les éléments qui permettraient de dérouter toute représentation, toute certitude, pour ouvrir le chemin d’une topologie dans la cure, qui renouerait avec la « docte ignorance », promue par Nicolas de Cues, saluée par Lacan, et marquer ainsi l’irréductible singularité de la psychanalyse ?

Samedi 12 octobre de 15H à 19H

Accueil et Présentation
Marc Brassier "Un parcours pas sans cabaner"
Jean-Claude Gross "Le psychanalyste fonde la cure en se retirant"

Dimanche 13 Octobre de 9H à 12H30

Jean-Paul Dubois "Une fondation permanente et précaire"
Dominique Lecoq "Là où il y a ratage, ça réussit"

Par ailleurs, dans l'assemblée nous avons un invité, Yann Diener, psychanalyste et chroniqueur à Charlie Hebdo.


Le bulletin d'inscription (25€, à l'ordre d'IntenSion Psychanalytique, Nantes)

Réservation éventuelle à la soirée conviviale du samedi
au "Saint-Laurent", un restaurant G. Blanc (1/2H à pied).

Secrétariat d'Intention Psychanalytique
Raphaël Pouliquen 14, rue du Dolmen 44600 Saint Nazaire
raphael.pouliquen@orange.fr


Renseignements pratiques

Transports :

1) il y a deux gares à Mâcon, Mâcon Loché TGV (à l'extérieur, mais nous pouvons accompagner les participants), et Mâcon-Ville qui est à 20 mn à pied du lieu de la rencontre (l'Hôtel Escatel, Place de la Liberté à Mâcon).

Pour tous : un TGV arrive de Paris Lyon vers 14H20 le samedi (petite modif « hiver ») ; retour le dimanche à 14H36 .

Pour les Nantais : départ 9H06 le samedi, Montparnasse à 11H16.

Pour le retour il y a aussi le Lyon-Nantes : 17H20, attente 1/2H à Lyon Part-Dieu, Nantes à 23H06.

Pour les Caennais : départ à 7H41 le samedi, retour dimanche Mâcon-Ville 13H57 > Lyon (attente), Lyon > le Mans > 21h42.

Pour les Reimois : samedi 9H13, Paris est 10H ; retour dimanche 14H04 , Reims à 20H44 (changement 1H à Paris).

2) Il y a aussi l'avion (Easy Jet : Nantes-Lyon ~ 1H, possibilité de location de voiture courte durée (4 jours) à plusieurs…

3) Enfin, en voiture, de Nantes ou de Caen, compter 6 à 7H de route, par divers trajets.

Hôtel : il existe de multiples possibilités à Mâcon, mais l'Escatel qui accueille nos travaux fait une offre raisonnable (66€ la nuit pour une personne, 72€ en chambre double, petit-déjeuner inclus). Possibilité de restauration, formule buffet à 15€ . 

 
View Event →
Les séminaires du Trait du Cas le samedi 15 juin
Jun
15
2:30 PM14:30

Les séminaires du Trait du Cas le samedi 15 juin

Les séminaires du Trait du Cas vous invitent à leur séance publique 

le samedi 15 juin, de 14h30 à 17h 

Interventions : 

Claire-Marie Gagnebin :
Un effrayant silence Martine Bonamy : L’a-t-trait 

Martine Dardanne, Monique Delaugerre, Anne-Sophie Lenormand :
Le Trait du Cas, vu de Paris : un pari ? 

à l’Institut Protestant de Théologie, 83 boulevard Arago 75014 Paris
Métro : Denfert-Rochereau ou Saint Jacques 

Participation aux frais : 10€ 

Groupe d'Etude du Trait du Cas 

66 rue du Rendez-vous, 75012 Paris
02 40 20 50 79 gr.etude@letraitducas.fr 

www.letraitducas.fr

 
View Event →
Séminaire à Caen « Qu’est-ce qu’interpréter ? » 2018-2019
Dec
14
9:00 PM21:00

Séminaire à Caen « Qu’est-ce qu’interpréter ? » 2018-2019

  • Séminaire « Qu’est-ce qu’interpréter ? » (map)
  • Google Calendar ICS

Cette question est centrale dans notre pratique. Elle constitue l'aiguillon qui fait relance pour l'analyste en fonction. Freud ne conseille-t-il pas d'aborder chaque cas particulier en laissant de côté tout savoir préalable, de se laisser enseigner par ce qui se dit au singulier dans le transfert. Lacan l'a nommé la fiction du sujet supposé savoir, fiction qu’il articule au désir de l’analyste. Autre façon de dire qu'on interprète pas avec de la théorie, que cela renvoie chaque clinicien à son rapport à l'inconscient. 

L'interprétation du rêve est un texte fondateur. Il définit le travail du rêve comme formation de l'inconscient en distinguant le contenu latent du contenu manifeste. Freud pose le rêve comme une réalisation du désir à lire comme un rébus. Il parle d'une transposition qui emprunte les chemins de la condensation et du déplacement. Ce que Lacan va reprendre en s'appuyant sur la linguistique comme métonymie et métaphore selon le jeu du signifiant et du signifié. 

Ainsi le travail d'analyse consiste nous dit Freud à défaire la trame qui a été ourdie par le travail du rêve. Autant dire que l'interprétation s'adresse au sujet de l'énonciation. 

« Wo Es war, soll Ich werden », là où c’était, je dois advenir.
« L’action a laquelle nous avons affaire, c'est l'action analytique, et quant à elle, il n'est pas contestable qu'elle est tentative de répondre à l'inconscient. » (J.Lacan. Le transfert). 

Sur ce fil, partons de quelques questions :
Qu'est-ce qu'interpréter? Si le sens de l'interprétation ne se réduit pas à rendre conscient ce qui était inconscient, que signifie la mise en évidence du sens latent d'un matériel ? Quelles relations entre l'interprétation et la temporalité en particulier la logique de l'après-coup?
En quoi la distinction qu'opère Lacan entre le symbolique, l'imaginaire et le réel permet- elle de repérer différents registres de l'interprétation?
Que dire de l'évolution actuelle des demandes adressées au psychanalyste et en quoi réinterroge-t-elle sa position et donc la place de l'interprétation? 

S’adresser à Sylvain FRÉROT  Tel. 06.73.14.00.40 sylvainfrerot@sfr.fr 

 
View Event →
Rencontre-débat avec Moustapha Safouan à Caen le samedi 17 novembre 2018
Nov
17
2:00 PM14:00

Rencontre-débat avec Moustapha Safouan à Caen le samedi 17 novembre 2018

Rencontre-débat avec Moustapha Safouan à propos de son livre « La civilisation post-œdipienne » (Ed. Hermann, 2018) le samedi 17 novembre 2018 à 14H. Auditorium du musée des Beaux-Arts (Enceinte du Château de Caen - accès parking rue des Fossés du Château).

Discutants Dolorès Frau Frérot, Sylvain Frérot et Fabrice Liégard.

Si l'œdipe tel que Freud l'a élaboré est une opération symbolique qui noue le désir et la loi et constitue ainsi la colonne vertébrale de la socialisation pour un sujet, est il encore opérant en une époque où prévalent les discours conjoints de la techno-science et de l'individualisme néo-libéral gouverné par l'offre et la demande ? 

Moustapha Safouan interroge dans son livre "La civilisation post-oedipienne" les métamorphoses de l'Éros et tente de répondre à cette question : quel est le sens et la place de la psychanalyse par les temps qui courent ? Autant de questions cruciales dont nous pourrons débattre avec lui. 

Cette rencontre est organisée en collaboration avec le Mouvement Pourtour.
Participation aux frais : 10 euros. Étudiants, sans emploi : entrée libre 

Contact : Sylvain Frérot - Tel : 06.73.14.00.40 sylvainfrerot@sfr.fr 

 
View Event →
Séminaire à Caen « Qu’est-ce qu’interpréter ? » 2018-2019
Nov
9
9:00 PM21:00

Séminaire à Caen « Qu’est-ce qu’interpréter ? » 2018-2019

  • Séminaire « Qu’est-ce qu’interpréter ? » (map)
  • Google Calendar ICS

Cette question est centrale dans notre pratique. Elle constitue l'aiguillon qui fait relance pour l'analyste en fonction. Freud ne conseille-t-il pas d'aborder chaque cas particulier en laissant de côté tout savoir préalable, de se laisser enseigner par ce qui se dit au singulier dans le transfert. Lacan l'a nommé la fiction du sujet supposé savoir, fiction qu’il articule au désir de l’analyste. Autre façon de dire qu'on interprète pas avec de la théorie, que cela renvoie chaque clinicien à son rapport à l'inconscient. 

L'interprétation du rêve est un texte fondateur. Il définit le travail du rêve comme formation de l'inconscient en distinguant le contenu latent du contenu manifeste. Freud pose le rêve comme une réalisation du désir à lire comme un rébus. Il parle d'une transposition qui emprunte les chemins de la condensation et du déplacement. Ce que Lacan va reprendre en s'appuyant sur la linguistique comme métonymie et métaphore selon le jeu du signifiant et du signifié. 

Ainsi le travail d'analyse consiste nous dit Freud à défaire la trame qui a été ourdie par le travail du rêve. Autant dire que l'interprétation s'adresse au sujet de l'énonciation. 

« Wo Es war, soll Ich werden », là où c’était, je dois advenir.
« L’action a laquelle nous avons affaire, c'est l'action analytique, et quant à elle, il n'est pas contestable qu'elle est tentative de répondre à l'inconscient. » (J.Lacan. Le transfert). 

Sur ce fil, partons de quelques questions :
Qu'est-ce qu'interpréter? Si le sens de l'interprétation ne se réduit pas à rendre conscient ce qui était inconscient, que signifie la mise en évidence du sens latent d'un matériel ? Quelles relations entre l'interprétation et la temporalité en particulier la logique de l'après-coup?
En quoi la distinction qu'opère Lacan entre le symbolique, l'imaginaire et le réel permet- elle de repérer différents registres de l'interprétation?
Que dire de l'évolution actuelle des demandes adressées au psychanalyste et en quoi réinterroge-t-elle sa position et donc la place de l'interprétation? 

S’adresser à Sylvain FRÉROT  Tel. 06.73.14.00.40 sylvainfrerot@sfr.fr 

 
View Event →
Séminaire à Caen « Qu’est-ce qu’interpréter ? » 2018-2019
Oct
5
9:00 PM21:00

Séminaire à Caen « Qu’est-ce qu’interpréter ? » 2018-2019

  • Séminaire « Qu’est-ce qu’interpréter ? » (map)
  • Google Calendar ICS

Cette question est centrale dans notre pratique. Elle constitue l'aiguillon qui fait relance pour l'analyste en fonction. Freud ne conseille-t-il pas d'aborder chaque cas particulier en laissant de côté tout savoir préalable, de se laisser enseigner par ce qui se dit au singulier dans le transfert. Lacan l'a nommé la fiction du sujet supposé savoir, fiction qu’il articule au désir de l’analyste. Autre façon de dire qu'on interprète pas avec de la théorie, que cela renvoie chaque clinicien à son rapport à l'inconscient. 

L'interprétation du rêve est un texte fondateur. Il définit le travail du rêve comme formation de l'inconscient en distinguant le contenu latent du contenu manifeste. Freud pose le rêve comme une réalisation du désir à lire comme un rébus. Il parle d'une transposition qui emprunte les chemins de la condensation et du déplacement. Ce que Lacan va reprendre en s'appuyant sur la linguistique comme métonymie et métaphore selon le jeu du signifiant et du signifié. 

Ainsi le travail d'analyse consiste nous dit Freud à défaire la trame qui a été ourdie par le travail du rêve. Autant dire que l'interprétation s'adresse au sujet de l'énonciation. 

« Wo Es war, soll Ich werden », là où c’était, je dois advenir.
« L’action a laquelle nous avons affaire, c'est l'action analytique, et quant à elle, il n'est pas contestable qu'elle est tentative de répondre à l'inconscient. » (J.Lacan. Le transfert). 

Sur ce fil, partons de quelques questions :
Qu'est-ce qu'interpréter? Si le sens de l'interprétation ne se réduit pas à rendre conscient ce qui était inconscient, que signifie la mise en évidence du sens latent d'un matériel ? Quelles relations entre l'interprétation et la temporalité en particulier la logique de l'après-coup?
En quoi la distinction qu'opère Lacan entre le symbolique, l'imaginaire et le réel permet- elle de repérer différents registres de l'interprétation?
Que dire de l'évolution actuelle des demandes adressées au psychanalyste et en quoi réinterroge-t-elle sa position et donc la place de l'interprétation? 

S’adresser à Sylvain FRÉROT  Tel. 06.73.14.00.40 sylvainfrerot@sfr.fr 

 
View Event →
Séminaire à Nantes 2017-2018
Jul
4
8:30 PM20:30

Séminaire à Nantes 2017-2018

Soucieuses de la transmission de la psychanalyse telle qu’au travail dans le Mouvement Pourtour, Edwige Pasquier et Claire-Marie Gagnebin de Bons ont invité à un séminaire à Nantes. Voici sa présentation envoyée en particulier aux coopérants de Pourtour et diffusée à toute personne intéressée.

« Notre souhait est que quelques-uns s’engagent dans une réflexion en confiance, un travail d’élaboration personnelle et partagée au sujet de l’enjeu de la parole dans l’analyse et pour l’analyste. Travail d’élaboration seul et à plusieurs donc, à partir de nos lectures et de nos questions soutenues de l’expérience analytique.

Comme dans la cure, savoir et position de maître font obstacle, alors que les trébuchements, les doutes, les lapsus nous enseignent… Et, comme dans la cure, un transfert est à l’œuvre à la fois obstacle et soutien au travail !

Tiré au sort à chaque séance, chacun pourra prendre la parole de sa place engagée.

Avoir une lecture commune — même si nous n’en parlons pas, si nous n’y faisons pas référence explicitement — nous semblait pouvoir aider la démarche et notre choix s’est porté sur le livre de Jacqueline Légaut : « La psychanalyse l’air de rien ».

Pour rendre ce travail possible, il nous a semblé nécessaire de ne pas y être trop nombreux et de l’inscrire dans une certaine durée (autour de deux ans). »

À la suite d’une première séance, deux groupes se mettront au travail à partir de juin et toutes les trois semaines. Des rencontres régulières auront lieu entre les deux groupes durant les deux ans.

View Event →
Séminaire à Nantes 2017-2018
Jun
13
8:30 PM20:30

Séminaire à Nantes 2017-2018

Soucieuses de la transmission de la psychanalyse telle qu’au travail dans le Mouvement Pourtour, Edwige Pasquier et Claire-Marie Gagnebin de Bons ont invité à un séminaire à Nantes. Voici sa présentation envoyée en particulier aux coopérants de Pourtour et diffusée à toute personne intéressée.

« Notre souhait est que quelques-uns s’engagent dans une réflexion en confiance, un travail d’élaboration personnelle et partagée au sujet de l’enjeu de la parole dans l’analyse et pour l’analyste. Travail d’élaboration seul et à plusieurs donc, à partir de nos lectures et de nos questions soutenues de l’expérience analytique.

Comme dans la cure, savoir et position de maître font obstacle, alors que les trébuchements, les doutes, les lapsus nous enseignent… Et, comme dans la cure, un transfert est à l’œuvre à la fois obstacle et soutien au travail !

Tiré au sort à chaque séance, chacun pourra prendre la parole de sa place engagée.

Avoir une lecture commune — même si nous n’en parlons pas, si nous n’y faisons pas référence explicitement — nous semblait pouvoir aider la démarche et notre choix s’est porté sur le livre de Jacqueline Légaut : « La psychanalyse l’air de rien ».

Pour rendre ce travail possible, il nous a semblé nécessaire de ne pas y être trop nombreux et de l’inscrire dans une certaine durée (autour de deux ans). »

À la suite d’une première séance, deux groupes se mettront au travail à partir de juin et toutes les trois semaines. Des rencontres régulières auront lieu entre les deux groupes durant les deux ans.

View Event →
Séminaire à Caen « Figures de l’altérité »
Dec
15
9:00 PM21:00

Séminaire à Caen « Figures de l’altérité »

  • 5 Rue Desmoueux 14000 Caen France (map)
  • Google Calendar ICS

Animé par Sylvain Frérot 

En quoi pouvons nous dire que la psychanalyse se fonde sur une éthique de l'altérité ?
Celle ci peut se formuler dans des négations constituantes. D'abord celle que Freud énonçait ainsi : le moi n'est pas maître dans sa propre maison. Ensuite celle que nous devons à Lacan : il n'y a pas un signifiant qui puisse dire l'être, l'identité du sujet, pas de totalité moïque ou symbolique, le sujet est divisé du fait de sa prise dans le langage. 

Du coup l'étranger, l'altérité, vient se loger dans l'intime, dans l'espace de la langue. Pas de sujet, pas de subjectivation sans Autre/ autre. Le rapport entre savoir et vérité s’en trouve réinterrogé.
Cette question de l'altérité et de son rejet nous semble être un des axes permettant d'élaborer ce que l'on appelle les nouvelles formes de la clinique contemporaine, que l’on nomme aussi « états limites », dans notre époque de marchandisation des corps et de la parole, de vénération du moi et des mirages mortifères du narcissisme. Ces nouveaux symptômes ne cessent de relancer la question de la sexuation, quand le sujet refuse qu'une jouissance lui soit refusée selon l'expression de Moustapha Safouan. Cela n’est pas sans incidences dans notre pratique. 

Époque, rappelons le aussi, où l'illusion et l'idéologie d'un certain scientisme tend à effacer la distinction entre le cerveau et le psychisme, la vie neuronale et la vie psychique, distinction nécessaire pour penser leur articulation. 

Contact : Sylvain Frérot 06.73.14.00.40 

frerot.sylvain@club-internet.fr 

 
View Event →
Séminaire à Caen « Figures de l’altérité »
Nov
17
9:00 PM21:00

Séminaire à Caen « Figures de l’altérité »

  • 5 Rue Desmoueux 14000 Caen France (map)
  • Google Calendar ICS

Animé par Sylvain Frérot 

En quoi pouvons nous dire que la psychanalyse se fonde sur une éthique de l'altérité ?
Celle ci peut se formuler dans des négations constituantes. D'abord celle que Freud énonçait ainsi : le moi n'est pas maître dans sa propre maison. Ensuite celle que nous devons à Lacan : il n'y a pas un signifiant qui puisse dire l'être, l'identité du sujet, pas de totalité moïque ou symbolique, le sujet est divisé du fait de sa prise dans le langage. 

Du coup l'étranger, l'altérité, vient se loger dans l'intime, dans l'espace de la langue. Pas de sujet, pas de subjectivation sans Autre/ autre. Le rapport entre savoir et vérité s’en trouve réinterrogé.
Cette question de l'altérité et de son rejet nous semble être un des axes permettant d'élaborer ce que l'on appelle les nouvelles formes de la clinique contemporaine, que l’on nomme aussi « états limites », dans notre époque de marchandisation des corps et de la parole, de vénération du moi et des mirages mortifères du narcissisme. Ces nouveaux symptômes ne cessent de relancer la question de la sexuation, quand le sujet refuse qu'une jouissance lui soit refusée selon l'expression de Moustapha Safouan. Cela n’est pas sans incidences dans notre pratique. 

Époque, rappelons le aussi, où l'illusion et l'idéologie d'un certain scientisme tend à effacer la distinction entre le cerveau et le psychisme, la vie neuronale et la vie psychique, distinction nécessaire pour penser leur articulation. 

Contact : Sylvain Frérot 06.73.14.00.40 

frerot.sylvain@club-internet.fr 

 
View Event →
Séminaire à Caen « Figures de l’altérité »
Oct
13
9:00 PM21:00

Séminaire à Caen « Figures de l’altérité »

  • 5 Rue Desmoueux 14000, Caen France (map)
  • Google Calendar ICS

Animé par Sylvain Frérot 

En quoi pouvons nous dire que la psychanalyse se fonde sur une éthique de l'altérité ?
Celle ci peut se formuler dans des négations constituantes. D'abord celle que Freud énonçait ainsi : le moi n'est pas maître dans sa propre maison. Ensuite celle que nous devons à Lacan : il n'y a pas un signifiant qui puisse dire l'être, l'identité du sujet, pas de totalité moïque ou symbolique, le sujet est divisé du fait de sa prise dans le langage. 

Du coup l'étranger, l'altérité, vient se loger dans l'intime, dans l'espace de la langue. Pas de sujet, pas de subjectivation sans Autre/ autre. Le rapport entre savoir et vérité s’en trouve réinterrogé.
Cette question de l'altérité et de son rejet nous semble être un des axes permettant d'élaborer ce que l'on appelle les nouvelles formes de la clinique contemporaine, que l’on nomme aussi « états limites », dans notre époque de marchandisation des corps et de la parole, de vénération du moi et des mirages mortifères du narcissisme. Ces nouveaux symptômes ne cessent de relancer la question de la sexuation, quand le sujet refuse qu'une jouissance lui soit refusée selon l'expression de Moustapha Safouan. Cela n’est pas sans incidences dans notre pratique. 

Époque, rappelons le aussi, où l'illusion et l'idéologie d'un certain scientisme tend à effacer la distinction entre le cerveau et le psychisme, la vie neuronale et la vie psychique, distinction nécessaire pour penser leur articulation. 

Contact : Sylvain Frérot 06.73.14.00.40 

frerot.sylvain@club-internet.fr 

 
View Event →
Rencontre-débat avec Moustapha Safouan à Caen le samedi 7 octobre 2017
Oct
7
2:30 PM14:30

Rencontre-débat avec Moustapha Safouan à Caen le samedi 7 octobre 2017

  • Amphithéâtre de la Maison de la Recherches en Sciences Humaines et Sociales (map)
  • Google Calendar ICS

Rencontre-débat avec Moustapha Safouan à propos de son livre « Le puits de la vérité. Psychanalyse et science » (Ed. Hermann, 2017) le samedi 7 octobre à 14h30. Amphithéâtre de la Maison de la Recherches en Sciences Humaines et Sociales (Université de Caen Normandie, campus 1).

Le débat sera animé par Dolorès Frau Frérot, Sylvain Frérot et Fabrice Liégard.

La psychanalyse nous enseigne que l'homme se définit comme un animal qui parle parce qu'il vit dans un monde qui habite le langage. Quant à la vérité, elle est ce que le sujet demande dès qu’il parle, c’est une passion infantile, autant dire primordiale. Dans l’expérience analytique, elle est ce qui se cache au fond du puits du symptôme et ce qui se fait entendre dans l'équivoque de la langue, à demi mot. S'il insiste avec Démocrite sur la nature mouvante et insaisissable de la vérité, c'est en tant que délimitation du réel que cette notion centrale est introduite par Moustapha Safouan pour poursuivre le dialogue déjà entrepris dans ses précédents ouvrages entre psychanalyse et science en particulier concernant le statut et la fonction de la vérité et la question du rapport entre savoir et vérité. Ce dialogue essentiel ne peut faire l'économie d'une recherche des points d'articulations, des distinctions et des aspérités que soulève cette rencontre. Moustapha Safouan n'hésite pas alors à solliciter et interpeller les diverses disciplines concernées, la philosophie, l'épistémologie, la sociologie, l'anthropologie, la linguistique..., et de les mettre en débat. C'est à ce rendez-vous qu'il nous invite, débat dont les enjeux sont d'une grande actualité.

Entrée libre.

Cette rencontre est organisée en collaboration avec le mouvement Pourtour et le Centre d’Etudes et de Recherches sur les Risques et les Vulnérabilités (CERReV) Département de sociologie, Université Caen Normandie.

Renseignements : 
Sylvain Frérot 06.73.14.00.40 frerot.sylvain@club-internet.fr
Dolorès Frau Frérot 06.70.08.83.25
Fabrice Liegard 06.52.56.57.04 fabrice.liegard@unicaen.fr

 
View Event →
Rencontre-débat avec Jean-Michel Louka à Nantes le samedi 17 juin 2017
Jun
17
3:00 PM15:00

Rencontre-débat avec Jean-Michel Louka à Nantes le samedi 17 juin 2017

Rencontre-débat avec Jean-Michel Louka autour de son livre « Féminin singulier une étude lacanienne » le samedi 17 Juin à 15H00 à la Médiathèque Jacques Demy, en collaboration avec le mouvement Pourtour.

Dans le cadre Mouvement Pourtour, un séminaire se tient à Nantes sous le titre : « Le psychanalyste entre féminin et paranoïa ». 

Son parcours a conduit à inviter Jean-Michel Louka, psychanalyste à Paris, afin d’instaurer avec lui un dialogue autour de son dernier ouvrage Féminin singulier et d’explorer son approche de cette question inépuisable du féminin, mise au travail par nous depuis quelques années déjà.

Partant du constat de Lacan « il n’y a pas de rapport sexuel » Jean-Michel Louka éclaire dans cette étude résolument lacanienne la question du féminin en tant qu’impossible – et de ce fait point nodal du réel - pour l’articuler à la pratique psychanalytique, à savoir son abord dans une cure par le biais du transfert. Transfert où l’Amour servirait de levier opérant afin de tenter d’appréhender et mieux faire avec cet impossible. 

Organisation : Tineke Gauchet-Engelen

Entrée : 10 euros (étudiants : 5 euros)

 

Jean-Michel Louka exerce comme psychanalyste à Paris depuis 1976. Il fait partie de la cinquième génération des psychanalystes freudiens, de la deuxième génération des psychanalystes lacaniens. Elève de Serge Leclaire et disciple de Lacan, dont il a suivi les séminaires de 1974 à 1980, il a été membre de l’Ecole Freudienne de Paris.

Jean-Michel Louka s’intéresse à l’addictologie dans le sens large du terme et la dépression, tout particulièrement chez les femmes, en tant que manifestations symptomatiques.

Passionné de recherche et se souciant de la question de la transmission et de la pratique psychanalytique, il a tenu séminaire en différents lieux parisiens de 1990 à 2015, et a écrit de nombreux articles à ce sujet. Actuellement il est encore « Attaché » au service de Rhumatologie et de la Douleur de l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière de Paris et préside l’association Gynépsy qu’il a fondé en 2003.

Ses livres, également orientés par le souci de la transmission, traitent de questions cliniques psychanalytiques, mais aussi de la formation et de la pratique. Dans ses ouvrages Jean-Michel Louka questionne des énoncés trop galvaudés ou oubliés de Lacan, et cherche à clarifier des concepts tels que le transfert, ou à aborder la question épineuse du féminin…

De la notion au concept de transfert de Freud à Lacan, L’Harmattan, 2008
… Pas sans Lacan ; Dix questions de clinique psychanalytique, Editions Lambert-Lucas, 2011
Singuli, petit vade-mecum de psychanalyse, Editions-Lambert-Lucas, 2012
Epoustouflant Lacan, Editions Lambert-Lucas, 2016
Féminin singulier, une étude lacanienne, Editions Lambert-Lucas, 2017

View Event →
Séminaire à Caen « Figures de l’altérité »
Jun
16
9:00 PM21:00

Séminaire à Caen « Figures de l’altérité »

Animé par Sylvain Frérot

Comme le rappelait Moustapha Safouan lors de sa venue à Caen en mai dernier, la structure dualiste n’est pas vivable. Si le sujet se contente de cette plénitude qui lui apparaît dans le miroir, il devient idolâtre de son moi idéal, ce qui est une définition de la servitude volontaire et le lieu d’une violence sans limites.

Alors comment s’introduit, s’inscrit un certain manque à être qui rend la vie vivable ? Nous relancerons cette question autour des figures de l’Altérité au sens de ce qui disjoint, altère la plénitude imaginaire.

Freud ne parle-t’il pas d’une Autre scène pour définir l’inconscient et ses formations qui surgissent parfois dans une inquiétante étrangeté ?

Lacan parle lui de l’Autre comme lieu des signifiants, espace de la langue. Il définit l’altérité radicale en lien avec la loi de l’interdit de l’inceste, l’objet perdu et le réel du sexuel.

Que nous enseigne notre pratique sur ces questions mais aussi l’art, la littérature, l’histoire, la mythologie ?

S’adresser à Sylvain Frérot : 06 73 14 00 40, frerot.sylvain@club-internet.fr

 
View Event →
Séminaire à Nantes « Le psychanalyste entre féminin et paranoïa »
Jun
6
9:00 PM21:00

Séminaire à Nantes « Le psychanalyste entre féminin et paranoïa »

Animé par Bernard Brémond

Après une année passée essentiellement à visiter les travaux de Michèle Montrelay, nous poursuivrons en recentrant notre démarche sur le transfert, et plus précisément sur ce que je propose d’appeler  « le transfert au féminin », au double sens que l’expression fait entendre :

Le transfert (dans la cure) serait-il une modalité de rencontre avec le désir de l’Autre qu’on pourrait qualifier de féminine (comme Freud déclare qu’il n’y a de libido que masculine) ?

« Le féminin » comme objet et lieu du transfert, situé alors comme ce que la cure invite à rencontrer de la façon la moins paranoïaque possible.

Pour participer, s’adresser à Bernard Brémond : 02 40 20 50 79.

 
View Event →
Séminaire à Caen « Figures de l’altérité »
May
12
9:00 PM21:00

Séminaire à Caen « Figures de l’altérité »

Animé par Sylvain Frérot

Comme le rappelait Moustapha Safouan lors de sa venue à Caen en mai dernier, la structure dualiste n’est pas vivable. Si le sujet se contente de cette plénitude qui lui apparaît dans le miroir, il devient idolâtre de son moi idéal, ce qui est une définition de la servitude volontaire et le lieu d’une violence sans limites.

Alors comment s’introduit, s’inscrit un certain manque à être qui rend la vie vivable ? Nous relancerons cette question autour des figures de l’Altérité au sens de ce qui disjoint, altère la plénitude imaginaire.

Freud ne parle-t’il pas d’une Autre scène pour définir l’inconscient et ses formations qui surgissent parfois dans une inquiétante étrangeté ?

Lacan parle lui de l’Autre comme lieu des signifiants, espace de la langue. Il définit l’altérité radicale en lien avec la loi de l’interdit de l’inceste, l’objet perdu et le réel du sexuel.

Que nous enseigne notre pratique sur ces questions mais aussi l’art, la littérature, l’histoire, la mythologie ?

S’adresser à Sylvain Frérot : 06 73 14 00 40, frerot.sylvain@club-internet.fr

 
View Event →
Séminaire à Nantes « Le psychanalyste entre féminin et paranoïa »
May
2
9:00 PM21:00

Séminaire à Nantes « Le psychanalyste entre féminin et paranoïa »

Animé par Bernard Brémond

Après une année passée essentiellement à visiter les travaux de Michèle Montrelay, nous poursuivrons en recentrant notre démarche sur le transfert, et plus précisément sur ce que je propose d’appeler  « le transfert au féminin », au double sens que l’expression fait entendre :

Le transfert (dans la cure) serait-il une modalité de rencontre avec le désir de l’Autre qu’on pourrait qualifier de féminine (comme Freud déclare qu’il n’y a de libido que masculine) ?

« Le féminin » comme objet et lieu du transfert, situé alors comme ce que la cure invite à rencontrer de la façon la moins paranoïaque possible.

Pour participer, s’adresser à Bernard Brémond : 02 40 20 50 79.

 
View Event →
Séminaire à Caen « Figures de l’altérité »
Apr
7
9:00 PM21:00

Séminaire à Caen « Figures de l’altérité »

Animé par Sylvain Frérot

Comme le rappelait Moustapha Safouan lors de sa venue à Caen en mai dernier, la structure dualiste n’est pas vivable. Si le sujet se contente de cette plénitude qui lui apparaît dans le miroir, il devient idolâtre de son moi idéal, ce qui est une définition de la servitude volontaire et le lieu d’une violence sans limites.

Alors comment s’introduit, s’inscrit un certain manque à être qui rend la vie vivable ? Nous relancerons cette question autour des figures de l’Altérité au sens de ce qui disjoint, altère la plénitude imaginaire.

Freud ne parle-t’il pas d’une Autre scène pour définir l’inconscient et ses formations qui surgissent parfois dans une inquiétante étrangeté ?

Lacan parle lui de l’Autre comme lieu des signifiants, espace de la langue. Il définit l’altérité radicale en lien avec la loi de l’interdit de l’inceste, l’objet perdu et le réel du sexuel.

Que nous enseigne notre pratique sur ces questions mais aussi l’art, la littérature, l’histoire, la mythologie ?

S’adresser à Sylvain Frérot : 06 73 14 00 40, frerot.sylvain@club-internet.fr

 
View Event →
Séminaire à Nantes « Le psychanalyste entre féminin et paranoïa »
Apr
4
9:00 PM21:00

Séminaire à Nantes « Le psychanalyste entre féminin et paranoïa »

Animé par Bernard Brémond

Après une année passée essentiellement à visiter les travaux de Michèle Montrelay, nous poursuivrons en recentrant notre démarche sur le transfert, et plus précisément sur ce que je propose d’appeler  « le transfert au féminin », au double sens que l’expression fait entendre :

Le transfert (dans la cure) serait-il une modalité de rencontre avec le désir de l’Autre qu’on pourrait qualifier de féminine (comme Freud déclare qu’il n’y a de libido que masculine) ?

« Le féminin » comme objet et lieu du transfert, situé alors comme ce que la cure invite à rencontrer de la façon la moins paranoïaque possible.

Pour participer, s’adresser à Bernard Brémond : 02 40 20 50 79.

 
View Event →
Mar
10
9:00 PM21:00

Séminaire à Caen « Figures de l’altérité »

Animé par Sylvain Frérot

Comme le rappelait Moustapha Safouan lors de sa venue à Caen en mai dernier, la structure dualiste n’est pas vivable. Si le sujet se contente de cette plénitude qui lui apparaît dans le miroir, il devient idolâtre de son moi idéal, ce qui est une définition de la servitude volontaire et le lieu d’une violence sans limites.

Alors comment s’introduit, s’inscrit un certain manque à être qui rend la vie vivable ? Nous relancerons cette question autour des figures de l’Altérité au sens de ce qui disjoint, altère la plénitude imaginaire.

Freud ne parle-t’il pas d’une Autre scène pour définir l’inconscient et ses formations qui surgissent parfois dans une inquiétante étrangeté ?

Lacan parle lui de l’Autre comme lieu des signifiants, espace de la langue. Il définit l’altérité radicale en lien avec la loi de l’interdit de l’inceste, l’objet perdu et le réel du sexuel.

Que nous enseigne notre pratique sur ces questions mais aussi l’art, la littérature, l’histoire, la mythologie ?

S’adresser à Sylvain Frérot : 06 73 14 00 40, frerot.sylvain@club-internet.fr

 
View Event →
Mar
7
9:00 PM21:00

Séminaire à Nantes « Le psychanalyste entre féminin et paranoïa »

Animé par Bernard Brémond

Après une année passée essentiellement à visiter les travaux de Michèle Montrelay, nous poursuivrons en recentrant notre démarche sur le transfert, et plus précisément sur ce que je propose d’appeler  « le transfert au féminin », au double sens que l’expression fait entendre :

Le transfert (dans la cure) serait-il une modalité de rencontre avec le désir de l’Autre qu’on pourrait qualifier de féminine (comme Freud déclare qu’il n’y a de libido que masculine) ?

« Le féminin » comme objet et lieu du transfert, situé alors comme ce que la cure invite à rencontrer de la façon la moins paranoïaque possible.

Pour participer, s’adresser à Bernard Brémond : 02 40 20 50 79.

 
View Event →
Feb
7
9:00 PM21:00

Séminaire à Nantes « Le psychanalyste entre féminin et paranoïa »

Animé par Bernard Brémond

Après une année passée essentiellement à visiter les travaux de Michèle Montrelay, nous poursuivrons en recentrant notre démarche sur le transfert, et plus précisément sur ce que je propose d’appeler  « le transfert au féminin », au double sens que l’expression fait entendre :

Le transfert (dans la cure) serait-il une modalité de rencontre avec le désir de l’Autre qu’on pourrait qualifier de féminine (comme Freud déclare qu’il n’y a de libido que masculine) ?

« Le féminin » comme objet et lieu du transfert, situé alors comme ce que la cure invite à rencontrer de la façon la moins paranoïaque possible.

Pour participer, s’adresser à Bernard Brémond : 02 40 20 50 79.

 
View Event →
Jan
27
9:00 PM21:00

Séminaire à Caen « Figures de l’altérité »

  • 5 Rue Desmoueux 14000, Caen France (map)
  • Google Calendar ICS

Animé par Sylvain Frérot

Comme le rappelait Moustapha Safouan lors de sa venue à Caen en mai dernier, la structure dualiste n’est pas vivable. Si le sujet se contente de cette plénitude qui lui apparaît dans le miroir, il devient idolâtre de son moi idéal, ce qui est une définition de la servitude volontaire et le lieu d’une violence sans limites.

Alors comment s’introduit, s’inscrit un certain manque à être qui rend la vie vivable ? Nous relancerons cette question autour des figures de l’Altérité au sens de ce qui disjoint, altère la plénitude imaginaire.

Freud ne parle-t’il pas d’une Autre scène pour définir l’inconscient et ses formations qui surgissent parfois dans une inquiétante étrangeté ?

Lacan parle lui de l’Autre comme lieu des signifiants, espace de la langue. Il définit l’altérité radicale en lien avec la loi de l’interdit de l’inceste, l’objet perdu et le réel du sexuel.

Que nous enseigne notre pratique sur ces questions mais aussi l’art, la littérature, l’histoire, la mythologie ?

S’adresser à Sylvain Frérot : 06 73 14 00 40, frerot.sylvain@club-internet.fr

 
View Event →
Journée « L'enfant et les psychanalystes » organisée par le groupe «Bord de mer»
Jan
21
9:00 AM09:00

Journée « L'enfant et les psychanalystes » organisée par le groupe «Bord de mer»

Samedi 21 janvier 2017

La Maison des Syndicats
1, place de la gare de l’État, 44200 Nantes

Parlé avant de parler, un enfant – au gré du bruit et de la manifestation de ses symptômes – est parfois emmené par ses parents chez un psychanalyste. Celui-ci, soucieux d’entendre ce qui se joue pour ce sujet aux prises avec son désir et avec son histoire familiale, est convoqué à une rencontre créative ! Après une année d’un travail à plusieurs, des psychanalystes ont souhaité témoigner de leurs questions et partager avec d’autres professionnels curieux de l’inventivité propre aux enfants quant à leur manière d’être au monde.

Programme

9H00 Accueil

9H30 Introduction à la journée et aux ateliers de l’après-midi
Florence Frappart, psychanalyste

9H45 Histoires d’un psychanalyste d’enfant
Jean Rousseau, psychanalyste

10H30 Témoignage «La Consultation Ouverte»
avec Catherine Saladin et Frédéric de Rivoyre, psychanalystes
Enfance en jeu, Paris 19ème
Discussion

12H30 Pause déjeuner libre

14H00 Ateliers
A1 : Qu’est-ce qu’il me fait ? du lien à l’individuation
A2 : La place du père
A3 : De la responsabilité du psychanalyste…
A4 : Quid des parents ?

15H45 Restitution des ateliers

16H30 Clôture de la journée
avec Bernard Brémond, psychanalyste

Journée organisée dans le mouvement Pourtour, avec le soutien de l’association Inten$ion Psychanalytique

« Bord de mer, enfant & psychanalystes » est un groupe de travail réunissant une fois par mois.
Grégory Aubignat, Elisabeth Castanet, Isabelle Chevalier, Valérie Desaunay, Florence Frappart, Claire-Marie Gagnebin de Bons, Nicolas Peraldi, psychologues et psychanalystes à Nantes

www.borddemer.xyz

 
View Event →